Une poésie limpide, des mots à la fois doux et très vrais où on reconnaît nos propres cris. L’hymne à la vie d’une battante qui use de sa liberté pour nous ramener à nos sources. Artiste multidisciplinaire, Rachel Filiatrault a la poésie dans l’âme. Quelques-unes de ses œuvres visuelles illustrent magnifiquement les chapitres de ce livre. UN LIVRE-MUSIQUE : EN PRIME, laissez-vous transporter dans l’univers émouvant de L’Oiseau des sables, une œuvre magistrale du compositeur et multi-instrumen

Montréal, 1984 Deux jeunes adultes en quête de sens dans une société en chute libre. Le portrait intimiste de deux humains qui se lancent dans une vaste enquête les entraînant au cœur des mille et une facettes de la « ville aux 100 clochers, minarets et autres flèches pointées vers le ciel ». Un roman intemporel, un portrait saisissant du gouffre où s’engloutit une fin de siècle. Johane Filiatrault a su se démarquer dès la publication de ses premiers romans par la qualité de sa plume, que l

Se pourrait-il que des prophéties vieilles de plusieurs milliers d’années se réalisent toutes à la lettre sous nos yeux ? Pourquoi ces prédictions ont-elles été écrites en un langage codé et pourquoi un tel cryptage ne devient-il intelligible que maintenant ? L’avenir de l’humanité n’est pas aussi sombre que certains l’annoncent. Une remarquable analyse d’un des textes les plus lus de la Bible, l’Apocalypse de Jean. Terriblement actuel et audacieux.

N’Dakinna est le nom donné au territoire des Abénakis. Ce livre est leur histoire et leur combat pour survivre à l’empiètement de leur territoire par les colons de la Nouvelle-Angleterre. Fidèles alliés des Français, ils ont protégé la frontière de la Nouvelle-France des incursions anglaises et iroquoises pendant près de 100 ans et méritent bien leur surnom : « d’anges gardiens des français » en Amérique. Auteur : Patrick Côté

« Elle cousait des kamiks. Assise dans son lit qui servait aussi de fauteuil, elle piquait le cuir avec une aiguille crochue. Ses points étaient petits, si petits et… si réguliers ! Ses yeux devaient être bons. L’éclairage venait de sa gauche tout en haut. Une petite fenêtre qui ne s’ouvrait pas laissait passer le jour. C’était le froid dehors, un froid intense et un vent audacieux qui donnent aux maisons cette allure de mansarde à petits carreaux. Et je regardais ses doigts crochus encore

Poésie haïku, par Diane Descôteaux